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CECM Ni Akaravyo

CECM, le produit d’un leadership féminin courageux

Le 8 Mars de chaque année, le monde célèbre la journée internationale dédiée aux droits de la femme. Le thème de cette année est : « un leadership engagé pour une digitalisation en faveur de l’égalité de genre. »A la CECM, cette journée semble avoir été anticipée car ce thème vient pendant qu’elle mène une campagne active pour la promotion de son produit digital « CECM Ni Akaravyo » qui a donné à plusieurs femmes une opportunité de travailler.

Cette journée est tellement spéciale car il y a aujourd’hui plus de 27 ans que la CECM a vu le jour et que, quelques braves femmes se sont données comme mission de renforcer le pouvoir économique et social des personnes à faibles revenus, particulièrement les femmes, en appuyant leurs activités économiques par des services financiers de proximité accessibles et adaptés à leurs besoins. Après toutes ces années, le visage de la femme a considérablement changé dans la société burundaise grâce à la contribution de la CECM à travers beaucoup de projets de développement initiés par elle à l’endroit des femmes.

 « La CECM nous a donné de l’estime auprès de nos maris car maintenant ils voient que nous sommes capables d’entreprendre grâce aux crédits octroyés par  la CECM et que nous sommes aussi capables de le rembourser. Ainsi ils sont tranquilles car ils voient que même après leur départ vers l’au-delà, la famille sera entre de bonnes mains financièrement » témoigne Mme Jovithe Mpawenayo, femme et membre active de la CECM.   

Avec un leadership féminin engagé à porter haut l’inclusion financière, la CECM s’est dotée du produit digital CECM Ni Akaravyo afin de faciliter les transactions de ses membres à majorité femmes. Le produit digital est venu à point nommé dans la mesure où il permet aux femmes très occupées par d’autres activités de bénéficier des services de la CECM tout près d’eux sans devoir se déplacer vers les Agences de la CECM. Grâce à ce produit, la CECM a permis à plusieurs femmes de trouver du travail car c’est un projet qui demande une mobilisation humaine importante.

Cela n’est qu’un pas. Le meilleur reste à venir.